Sainte Edith de Barking Abbesse de Wilton (+ 984)
Portrait d'Édith de Wilton dans un manuscrit du XIIIe siècle
Elle était la fille d'Edgar, roi des Angles et suivit sa mère Wilfride, concubine du roi, lorsqu'elle se retira dans le monastère de Wiltshire. Elle devint religieuse. Lorsqu'elle mourut, âgée de vingt-trois ans, elle fut aussitôt placée sur les autels et dans les calendriers de son pays.
Autre biographie:
Ste-Édith de Wilton Fille du roi Edgar Le Pacifique et de Sainte-Wulfride, une femme qu’il avait enlevée après le décès de son épouse. Sa mère étant entrée à l’abbaye de Wilton, Édith l’accompagne et elle y passe le reste de sa vie, d’abord comme sœur, à partir de l’âge de 15 ans, puis comme abbesse pour succéder à sa mère (961-984) Selon la légende, Sainte-Édith de Wilton possédait le pouvoir de communiquer avec les animaux sauvages.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eadgyth
http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20100916&id=6629&fd=0
Saints Abdallah et Roger (+ 852)
Vue générale de Cordoue : le Guadalquivir, le Pont romain et l'ancienne Grande mosquée
Roger ou Rogel, moine déjà avancé en âge, et Serdieu ou Sero-Dio (Abdallah), encore jeune, chrétien de Cordoue, étaient venus d’Orient, à Cordoue en Andalousie, et ils eurent l’audace de prêcher le Christ, médiateur entre Dieu et les hommes, devant la foule à la mosquée. Ils furent pour cela condamnés à mort, condamnation qu’ils reçurent avec joie. On leur coupa d’abord les mains et les jambes, puis on les décapita.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cordoue
Saint André Kim Taegon prêtre et martyr en Corée (+ 1846)
Près de Sai-Nam en Corée, en 1846, la passion de saint André Kim Taegon, prêtre et martyr, qui, après deux ans de ministère sacerdotal exercé avec un zèle extrême, accomplit un glorieux martyre, en ayant la tête tranchée. Sa mémoire est célébrée, avec les autres martyrs de Corée, le 20 septembre.
Martyrologe romain
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Kim_Taegon
Sainte Camille (Camelle) (13ème s.)
Sainte-Camelle
Religieuse cistercienne, elle vivait à Carcassonne au temps des Albigeois. Poursuivie, elle préféra se jeter dans un puits plutôt que de se faire violer. Ce lieu devint un pèlerinage et le village voisin changea son nom en Sainte Camelle. Elle est vénérée à Toulouse.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte-Camelle
http://sgdelestaing.pagesperso-orange.fr/Francais/CPStCamelle.htm
Saints Corneille et Cyprien Mémoire liturgique - Solennité de saint Cyprien en Afrique du Nord (3ème s.)
Saint Corneille.
On a rappelé le 14 septembre la mise au tombeau du premier et la passion du second. Aujourd’hui le monde chrétien les célèbre d’une seule voix, confortés mutuellement dans la foi et liés ensemble par la charité. Saint Cyprien était devenu chrétien à quarante-six ans. Jusque là, il avait été rhéteur et avocat et ses moeurs étaient celles d’un païen célibataire. Après sa conversion, il trouva son bonheur en donnant ses biens aux pauvres. Tant et si bien que les chrétiens de Carthage le choisirent deux ans après comme évêque. Progressivement, il devint, par son influence, chef de l’Eglise d’Afrique. A la demande de ses fidèles, il se cacha durant la persécution de Dèce et fut épargné. Lorsqu’éclata ensuite la persécution de Valérien, il fut envoyé en exil par un proconsul qui lui était favorable. Mais le successeur l’étant moins, le fit chercher, le ramena à Carthage où il fut décapité. Vis-à-vis des chrétiens qui avaient apostasié pour éviter la mort, saint Cyprien était plein de miséricorde, professant que la miséricorde divine est plus grande que le plus grand des péchés.
Le pape saint Corneille s’appuya sur lui lors de la querelle des "lapsi", des chrétiens apostats. Après saint Augustin, il est l’un des plus grands témoins de la doctrine de l’Eglise latine des premiers siècles.
Saint-Corneille est le protecteur des troupeaux et des animaux domestiques. Il est invoqué pour soulager la fièvre et les douleurs d’oreilles.
Lecture
Frères, il est des gens qui, au lieu de proposer l’espérance, insinue le désespoir et le manque de foi sous le prétexte d’offrir la foi. Mais le Seigneur dit à Pierre : « Je te dis que tu es Pierre et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle. Je te donnerai les clefs du Royaume des cieux : tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux et tout ce que tu délieras sur la terre sera aussi délié dans les cieux ».
Le Seigneur bâtit son Église sur un seul ; même si après sa résurrection il confère un égal pouvoir à tous les apôtres : « Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. Recevez l’Esprit saint : ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ils seront retenus à ceux à qui vous les retiendrez », toutefois pour mettre en rélief l’unité, il a décidé qu’elle s’originerait dans un seul. Comment peux-tu croire que tu as la foi, toi qui ne protèges pas l’unité de l’Église ?.
(Cyprien, L’unité de l’Église catholique 3-4).
Prière
Seigneur, tu as donné à ton peuple dans les saints Corneille et Cyprien, des pasteurs dévoués et d’invincibles martyrs ; à leur prière, fortifie notre courage et notre foi et accorde-nous de travailler avec empressement à l’unité de l’Église.
Voir aussi:
http://missel.free.fr/Sanctoral/09/16.php
http://hodiemecum.hautetfort.com/archive/2009/09/16/index.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Corneille_(pape)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-Corneille
Saint Cyprien de Carthage Evêque et martyr (+ 258)
Saint Cyprien s'était fait chrétien à quarante-six ans. Jusque là, il avait été rhéteur et avocat et ses moeurs étaient celles d'un païen célibataire. Après sa conversion, il trouva son bonheur en donnant ses biens aux pauvres. Tant et si bien que les chrétiens de Carthage le choisirent deux ans après comme évêque. Progressivement, il devint, par son influence, chef de l'Eglise d'Afrique. A la demande de ses fidèles, il se cacha durant la persécution de Dèce et fut épargné. Lorsqu'éclata ensuite la persécution de Valérien, il fut envoyé en exil par un proconsul qui lui était favorable. Mais le successeur l'étant moins, le fit chercher, le ramena à Carthage où il fut décapité. Vis-à-vis des chrétiens qui avaient apostasié pour éviter la mort, saint Cyprien était plein de miséricorde, professant que la miséricorde divine est plus grande que le plus grand des péchés.
Le pape Saint Corneille s'appuya sur lui lors de la querelle des "lapsi", des chrétiens apostats. Après saint Augustin, il est l'un des plus grands témoins de la doctrine de l'Eglise latine des premiers siècles.
Au martyrologe romain: En Afrique du Nord, le 16 septembre, Solennité de saint Cyprien, évêque et martyr, dont la passion a été rappelée le 14.
"La tunique du Christ, tissée d’une seule pièce et sans couture, ne peut être divisée par ceux qui la possèdent. Indivise, d’un seul morceau, d’un seul tissu, elle figure la concorde et la cohésion de notre peuple, à nous qui avons revêtu le Christ. Par le mystère de ce vêtement et par son symbole, le Christ a rendu manifeste l’unité de l’Eglise."
Saint Cyprien - Sur l’unité de l’Eglise
Voir aussi:
http://www.magnificat.ca/cal/fran/09-16.htm#cyprien
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Cyprien_de_Carthage
http://jesusmarie.free.fr/cyprien_de_carthage.html
http://stmaterne.blogspot.com/2008/08/saint-cyprien-de-carthage-et-la.html
Saint Cyprien de Kiev (+ 1406)
Il naquit à Tirnovo en Bulgarie et fut initié aux rudiments de la vie spirituelle sous la direction de saint Théodose, au monastère de Kelifarevo. Il entra ensuite au monastère du Studion à Constantinople et s'y adonna à la copie des manuscrits. Il rédigea également plusieurs ouvrages théologiques. Le patriarche le remarqua et le chargea de restaurer la communion avec les Eglises de Bulgarie et de Serbie, chacune s'étant proclamée indépendante de Constantinople. Il soutint également l'établissement des relations avec le prince de Lituanie et fut nommé métropolite de Lituanie par le patriarche avec charge de maintenir la communion entre l'Eglise russe et la jeune Eglise orthodoxe de Lituanie. Après la bataille de Koulikovo, il fut choisi comme métropolite de toute la Russie. Ce qui ne fut pas sans difficulté auprès du prince Dimitri mais, en définitive, celui-ci reconnut, par souci de pacification, les décisions du métropolite alors que le prince s'y était opposé pendant quelque temps. Fidèle à Constantinople, saint Cyprien fit de Moscou l'héritière fidèle de la civilisation byzantine.
Voir aussi:
http://www.myriobiblos.gr/texts/french/synaxaire/cyprien.html
Bienheureux Dominique Shobioye martyr (+ 1628)
Monument des martys chrétiens à Nagasaki
Catéchiste japonais, il reçut l'habit franciscain dans la prison d'Omura et donne sa vie au Christ avec les bienheureux Michel Himonoya et son fils Paul, tous trois décapités pour la foi, à Nagasaki.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Martyrs_du_Japon
Sainte Einbeth (4ème s.)
ou Himberte, martyre avec ses compagnes, sainte Vorbeth et sainte Villbeth. Nous ne connaissons d'elles que les reliques qui les font vénérer à Strasbourg.
Sainte Eugénie d'Alsace abbesse de Hohenbourg(+ 735)
Ste Eugénie au tombeau de ste Odile
(Gravure du 19ème siècle)
Eugénie marche avec courage sur les traces de sa tante, Sainte Odile et maintient la régularité et la discipline et donne comme Odile l'exemple de toutes les vertus à sa sainte communauté. L'esprit de la pieuse fondatrice règne dans ces deux maisons et c'est un spectacle bien édifiant pour la Basse-Alsace que de voir de jeunes vierges issues des premières familles du pays renoncer aux douceurs d'une vie commode et agréable pour aller se consacrer aux pratiques de la pénitence. Eugénie gouverne son monastère pendant quinze ans et est aussi comptée au nombre des saintes. On dépose son corps dans la chapelle de Saint Jean Baptiste, près du tombeau de Sainte Odile. Ses reliques seront conservées dans cet endroit jusqu' à la guerre des Suédois. Ces fanatiques ouvriront alors son tombeau disperseront ses ossements et dont on ne conservera que quelques parties dans les églises d'Obernai et de Willgottheim
Relique de Sainte Eugénie au Mont Sainte Odile
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A9nie_d%27Alsace
http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Hohenbourg
Sainte Euphémie de Chalcédoine Martyre en Bithynie (+ 305)
Le martyre de Sainte Euphémie
Vierge et martyre à Chalcédoine. Arrêtée, elle connut d'abord diverses tortures avant d'être livrée aux bêtes qui la déchirèrent.
Un internaute nous écrit:
"En Orient, elle a reçu le titre rare de « mégalomartyre » (grande martyre). Elle a deux fêtes dans l'année : le jour de son martyre, le 16 septembre, et le 11 juillet. Sainte Euphémie était de Chalcédoine, et sur son tombeau on édifia une grande basilique. C'est cette basilique qui fut choisie pour accueillir le IVe concile oecuménique. Selon l'historien Nicéphore, les pères du concile, après des jours de discussions sans fin, décidèrent de demander à Dieu de trancher sur la question de la double nature (homme et Dieu) du Christ. Chacun des deux camps déposa dans la tombe d'Euphémie l'exposé de sa doctrine, et les pères se mirent en prière. Quand ils ouvrirent le tombeau, la thèse orthodoxe se trouvait sur la poitrine de la sainte, et la thèse hérétique à ses pieds. C'était le 11 juillet 451. La deuxième fête de sainte Euphémie commémore donc ce miracle. Saint Ambroise parle ainsi d'Euphémie: «Cette illustre vierge, cette glorieuse Euphémie, conserva la gloire de la virginité et mérita de recevoir la couronne du martyre. Priscus son adversaire est vaincu. Cette vierge sort intacte d'une fournaise ardente, les pierres les plus dures reviennent à l'état de cendre; les bêtes féroces s'adoucissent et se baissent devant elle. Sa prière lui fait surmonter toute espèce de supplice. Percée en dernier lieu par la pointe du glaive, elle quitte sa chair qui était sa prison pour se joindre avec liesse aux choeurs célestes. Que cette vierge sacrée, Seigneur, protège votre Église; qu'elle prie pour nous qui sommes pécheurs : puisse cette Vierge pure nourrie dans votre maison vous présenter nos voeux.»"

Voir aussi:
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsseptembre/sept16.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Euph%C3%A9mie_de_Chalc%C3%A9doine
Saint Frou (7ème s.)
Solitaire au diocèse de Dijon. Il avait été offert à l'abbaye saint Martin d'Autun dès sa plus tendre enfance et accepta cette oblation avec l'amour de la pénitence et de la prière. Il devint abbé du monastère et, lorsque les Sarrasins saccagèrent Autun, il se retira à Barjon en Bourgogne.
Saint Jean Macias (+ 1645)
Né en Espagne de parents nobles mais ruinés, il se place d'abord comme berger. Pour faire fortune, il émigre au Pérou et travaille à Lima chez un boucher. Emule de saint Martin de Porrès, à 37 ans, il entre comme frère convers chez les dominicains de cette ville. Frère portier, il accueille avec une immense charité les pauvres et les malades, se privant souvent de nourriture pour les nourrir et les assister.
Grégoire XVI l'a béatifié en 1837
Il était né dans l'Estramadure espagnole à Ribera del Freno. Orphelin et berger, il trouve déjà le moyen de consacrer son temps une bonne partie de son maigre salaire à soulager les malades et les pauvres. En 1619, à 34 ans, il part pour l'Amérique, au Pérou et travaille à Lima chez un boucher. Trois ans plus tard il entre chez les Dominicains comme frère lai au couvent Sainte-Madeleine de Lima. Jusqu'à la fin de sa vie, il fut le portier de son couvent, et ce, pendant 22 ans. Il mène une vie profonde de prière et de pénitence tout en secourant de nombreux pauvres.
Voir aussi sur le site des Dominicains canadiens.
http://www.dominicains.ca/Histoire/Figures/macias.htm
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Macias
Bienheureux Louis Aleman Archevêque d'Arles, cardinal (+ 1450)
À Salon-de-Provence, le Château de l'Empéri, résidence des archevêques d'Arles depuis le milieu du XIIe siècle
Louis Aleman, évêque d’Arles. Il connut le schisme occidental qui divisa l'Église. Cardinal, il fut même l'un des électeurs de l'anti-pape Félix V auquel il resta fidèle. Il fut alors excommunié par le pape Eugène IV. Après les troubles conciliaires de Constance et de Bâle, il fut réhabilité par le pape Nicolas V et ne s'occupa plus désormais que de son diocèse en pasteur zélé, austère et vertueux. Il meurt à Salon de Provence dans une Église qui retrouve la paix et l'unité.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Aleman
Sainte Ludmille martyre (+ 921)
Duchesse de Bohême et grand mère de saint Wenceslas. Païenne convertie, elle est considérée comme une martyre parce qu'elle fut étranglée en haine de la foi par sa belle-fille, Drahomira.
Autre biographie:
Ste-Ludmilla Fille d’un seigneur Bavarois, elle épouse ensuite Boviror, le duc de Bohème. Peu de temps après la cérémonie, le couple reçoit le baptême des mains de Saint-Méthode. Ils font ensuite bâtir la première église chrétienne de Bohème puis tentent d’imposer cette religion à leurs sujets, mais sans succès. Devenue veuve, Ludmila se retire dans la solitude pour se consacrer entièrement à la prière. Cependant, elle est aussi la grand-mère de saint-Wenceslas (voir notice au 28 septembre), avec qui elle a noué des liens affectifs très importants, ce qui n’est pas du tout du goût de sa belle fille, Drahomire. Rendue haineuse par la jalousie, cette dernière fait alors appel à deux hommes de mains qu’elle charge de supprimer Ludmilla. C’est ainsi qu’elle perd la vie étranglée dans son lit (873-927 ou 860-921) Sainte-Ludmilla est la patronne de la Bohème. Elle est invoquée pour résoudre les problèmes reliés à la belle-famille.
Voir aussi:
http://www.myriobiblos.gr/texts/french/synaxaire/ludmila.html
Saint Martin de Huerta abbé et évêque (+ v. 1213)
l'abbaye de Huerta
Moine cistercien, il fonda en 1164
l'abbaye de Huerta en Castille et il en devint le premier abbé. En 1185, il est ordonné évêque de Sigüenza, mettant tous ses soins à réformer son clergé. Puis, quelques années plus tard, il se retira dans son ancien monastère.
Voir aussi:
http://www.monasteriohuerta.org/
Bienheureux 4 Martyrs espagnols martyrs de la guerre civile espagnole (+ 1936)
En Espagne, dans la persécution menée contre l’Église au cours de la guerre civile, en 1936, quatre bienheureux martyrs:
- à Odena, près de Barcelone, Ignace Casanovas, prêtre de l’Ordre des Clercs réguliers des Écoles religieuses,
- à Turis, dans la région de Valence, Lauréan (Sauveur Ferrer Cardet), prêtre, Benoît (Emmanuel Ferret Jorda) et Bernardin (Paul Martinez Robles), religieux du Tiers-Ordre franciscain.
Martyrologe romain
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Martyrs_de_la_guerre_d%27Espagne
http://www.conferenciaepiscopal.es/santos/martires.htm
Sainte Mechtilde de Magdebourg mystique (+ v. 1280)
Mystique allemande, elle fut béguine à Magdebourg pendant 40 ans puis rejoint le monastère cistercien d'Helfta où elle rencontre sainte Gertrude et sainte Mechtilde d'Hackeborn.
Elle est fêtée le 15 août, le 16 septembre dans le diocèse de Magdebourg ou le 8 octobre...
Paroisse Saint-Mechtilde - Magdebourg -
http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.sankt-mechthild.de%2Fmechth.html&sl=de&tl=fr&hl=fr&ie=UTF-8
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mathilde_de_Magdebourg
http://voiemystique.free.fr/mechtilde_hackerborn_15.htm
Saint Ninian Evêque de Casa Candida (5ème s.)
Fils d'un prince breton, il se rendit à Rome faire ses études et c'est là qu'il fut ordonné évêque par le pape saint Boniface Ier. Celui-ci l'envoya en Grande-Bretagne où il convertit de nombreux païens dans le Galloway. Il vint en pèlerinage au tombeau de saint Martin.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Ninian
http://www.saintninian.com/Site/Who_was_St._Ninian.html
Saint Prisque évêque (4ème s.)
Évêque de Nocera en Campanie et martyr, dont saint Paulin de Nole a chanté les louanges dans un poème.
évêque et martyr (4ème s.)À Nocera en Campanie, vers le IVe siècle, saint Prisque, évêque et martyr, dont saint Paulin de Nole a chanté les louanges dans un poème.
Martyrologe romain
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nocera_Inferiore
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nocera_Superiore
Saint Procope Abbé de Sazava (+ 1053)
Monastère de Sazava
Originaire de Bohème et prêtre marié, il quitta sa famille, avec son accord et vécut ensuite dans une grotte isolée, dans les environs de Prague, accueillant les pauvres. Peu à peu sur les bords du fleuve Sazava, un monastère se forma autour de lui qui devint l'un des centres de la restauration de la liturgie orthodoxe. Dix ans plus tard, l'influence liturgique latine dispersa les moines, le pape saint Grégoire VII ayant refusé de les soutenir. Saint Procope est célébré le 4 juillet dans l'Eglise romaine latine.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Procope_de_S%C3%A1zava
http://fr.wikipedia.org/wiki/Monast%C3%A8re_de_S%C3%A1zava
Sainte Roswinde (8ème s.)
Soeur de
sainte Odile, elle imita sa soeur et entra, avec elle, au monastère de Hohenbourg en Alsace.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte_Odile
Sainte Sara Ancient Testament : Epouse du prophète Abraham
Epouse d'Abraham, elle fut incrédule lors de la visite des trois messagers de Dieu (Livre de la Genèse. 11) La promesse de Dieu pourtant se réalisa malgré la vieillesse de l'épouse. Elle eut un fils: Isaac.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarah_(Bible)
Sainte Sébastienne (1er s.)
La tradition veut qu'elle ait été convertie par saint Paul lors de son passage en Thrace. Elle fut décapitée durant la persécution de Dioclétien.
Sainte Thérence sainte légendaire (+ v. 500)
Sainte légendaire près de Montluçon dans l'Allier ayant laissé son nom à la commune de Sainte-Thérence.
"Légende: Thérence, une bergère vivait vers l'an 500 à Neuville-Saint-Julien. On dit que lorsqu'elle voulait rendre visite à ses parents qui habitaient de l'autre côté du Cher les eaux s'ouvraient devant elle. Elle avait prédit aux habitants de la commune qu'une malédiction s'abatterait sur eux si ils venaient voir ce phénomène. Cependant, un habitant plus curieux avait surpris Thérence dans son expédition ; le village où il habitait a été maudit. On dit également qu'elle avait dompté l'ours qui avait tué son âne.
En 1745, en conséquence du culte voué par la population à Thérence, la paroisse change de nom et, elle est officiellement baptisée sous son vocable, unique en France."
(source: site internet du bourg Sainte-Thérence)
http://www.saintetherencebourg.fr/
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte-Th%C3%A9rence
Saint Victor III Pape (156 ème) de 1085 à 1087 (+ 1087)
Normand du royaume de Naples et parent du duc de cette province, il fut d'abord ermite dans la région de Salerne, ville où il avait fait ses études de médecine. Elu abbé du monastère du Mont-Cassin, il s'employa à l'aménagement de l'abbaye avant de succéder à saint Grégoire VII sur le Siège de Pierre. Son pontificat dura à peine un an et nous en savons que peu de choses, sinon qu'il fut parfois indécis dans les querelles avec les princes qui voulaient assujettir l'Eglise. Léon XIII lui accorda le titre de saint à défaut d'une canonisation.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_III
Saints Victor, Félix, Alexandre et Papias martyrs (4ème s.)
Martyrs à Rome, ils ont été inhumés au cimetière majeur de la via Nomentana.
Saint Vital de Savigny abbé (+ 1122)
Ruines de l'abbaye de Savigny
Chapelain du comte Robert de Mortain, le demi-frère de Guillaume le Conquérant, il déposa ses charges séculières, et se retira comme ermite afin de pratiquer une manière de vivre très austère. Dix-sept ans après, en 1112, en raison du grand nombre de disciples qui l'avaient rejoint, il fonda l'abbaye de Savigny en Normandie, qui devint la maison-mère de plusieurs monastères en France et en Angleterre. Il mourut dans le choeur de l'abbatiale, tandis que qu'il y chantait l'office de la Vierge avec sa communauté.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vital_de_Savigny
Les Églises font mémoire…
Anglicans : Ninian (+432), évêque de Galloway, apôtre des Pictes ; Edward Bouverie Pusey (+1882), prêtre
Catholiques d’occident : Corneille, pape, et Cyprien, évêque, martyrs (calendrier romain et ambrosien) ;
Euphémie de Chalcédoine (IIIe-IV s.), vierge et martyre (calendrier mozarabe)
Coptes et Éthiopiens (6 tut/maskaram) : Isaïe (VIIe-VIe s. av. J.-C.), prophète (Église copte)
Luthériens : Kaspar Tauber (+1524), témoin jusqu’au sang à Vienne
Maronites : Cyprien, évêque de Carthage, martyr
Orthodoxes et gréco-catholiques : Euphémie de Chalcédoine, mégalo-martyre ; Joannice II (XIIIe-XIVe s.), premier patriarche des Serbes (Église serbe)
Vieux Catholiques : Cyprien, évêque et martyr